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Anonymous
Je ne recommande PAS William Simpich.
Vers le 20juillet, j'ai retenu M. Simpich pour me représenter dans un procès fédéral en matière de droits civils, intitulé XXXX v. YYYYY à la Cour de district des États-Unis pour la Californie du Nord. Je lui ai versé un montant initial de XXXX $ et tout recouvrement ultérieur éventuel sur une entente de frais d'imprévus. Peu de temps après avoir examiné l'affaire, dans laquelle j'étais à l'origine autoreprésenté, M. Simpich m'a promis qu'il présenterait un mémoire en réponse à une demande pendante d'ordonnance de protection ainsi qu'une opposition à la demande de dépenses de l'avocat de l'opposition. M. Simpich n'a déposé aucun mémoire en réponse et n'a jamais formé d'opposition à la demande de dépenses de l'avocat adverse. Il s'agissait manifestement d'une violation de sa promesse et d'une violation de son obligation de fiduciaire. Heureusement, pour moi, la décision de la cour a été favorable. M. Simpich ne m'a jamais fourni d'explication pour son incapacité à déposer une plaidoirie recevable dans cette affaire.
En décembre 2000, une conférence de médiation ordonnée par le tribunal a eu lieu dans l'affaire précitée devant le juge XXXX à San Francisco, CA. M. Simpich m'a représenté. Un accord oral a été conclu en audience publique et les modalités de la transaction ont consisté à ce que le défendeur me verse XXXX $. Le défendeur a également insisté pour que je verse à l'État de Californie une restitution d'environ XXXX dollars. J'étais d'accord. Environ deux semaines plus tard, je suis sorti de ma liberté conditionnelle en Californie. Par la suite, j'ai appris d'une connaissance du nom de Derek que lorsque je suis sorti de la liberté conditionnelle au début du 20e janvier, le défendeur avait perdu la compétence pour me faire rembourser. En d'autres termes, la partie défenderesse ne pouvait plus exécuter spécifiquement l'accord de règlement initial. Ce fait a même été corroboré par un avocat spécialisé en libération conditionnelle nommé D. G., Esq. J'ai informé M. Simpich de cette information et j'ai expliqué avec soin qu'il serait en effet illégal pour le défendeur de procéder à la restitution après ma libération conditionnelle. J'ai imploré M. Simpich de déposer une motion de modification de l'accord de règlement auprès de la Cour fédérale. J'ai même découvert une décision publiée sur un point qui étayait fortement mon argument à M. Simpich. En outre, Derek a également communiqué avec M. Simpich pour expliquer plus en détail comment le défendeur n'avait plus compétence et n'avait aucun pouvoir légal de recouvrer la restitution de moi. Derek a informé M. Simpich qu'un accord de règlement ne pouvait pas usurper la loi. C'est la loi des lettres noires. Cependant, malgré tous ces arguments convaincants, M. Simpich n'a pas été ému, et il est fermement catégorique que j'ai dû signer l'accord fédéral de règlement, qui aurait permis illégalement à l'accusé de recouvrer auprès de moi la restitution. M. Simpich s'est rapidement mis en colère et a été très contrarié de ne pas signer l'accord de règlement en raison de ma conviction que la clause de restitution de l'accord était illégale. En fait, j'ai été choqué par le comportement de M. Simpich, qui était extrêmement peu professionnel. M. Simpich n'a jamais respecté le fait qu'en tant que client, j'étais le décideur ultime. M. Simpich a menacé qu'il sortirait de mon dossier si je ne signais pas la libération. Ses tactiques de bras forts étaient particulièrement troublantes. La contrainte sous laquelle j'étais sous M. Simpich était considérable.
Au cours de l'emploi de M. Simpich avec moi, il s'est substitué à deux actions délictuelles connexes de l'État. Le XX septembre, le 20XX, il y a eu des conférences de gestion de cas dans ces deux cas. M. Simpich n'a pas fourni les déclarations requises du CMC dans les deux cas, conformément aux Règles de la Cour de Californie. De plus, le XX septembre 20XX, sans m'en parler et sans demander mon autorisation préalable, M. Simpich a illégalement et unilatéralement renvoyé M. D. T., un des accusés dans mon procès. Il est tout à fait clair en Californie qu'un avocat a besoin de l'autorisation de son client avant de rejeter toute partie à une action. Le fait que M. Simpich n'ait pas respecté cette règle clairement établie constitue une violation extrêmement grave des Règles du Barreau de l'État.